jeudi 28 mai 2015

Quand madame pourquoi rencontre monsieur chevreuil


J'ai fait un constat qui m'a un peu perturbée : en ce moment, avec toutes les galères que je traverse, je me replis un peu sur moi-même et ça depuis une décision prise par un tiers un fameux vendredi. Je ne profite plus trop de la vie. Je suis en mode trajets "mode automatique"-remise en question-galère-dodo. Il faut dire que tout cela monopolise beaucoup de temps et d'énergie, mais dois-je forcément en oublier de vivre et de profiter de la vie ? Je suis très fatiguée, c'est une réalité. Mais si je veux que cela change, il faut que je me reprenne un peu en main.


Avant hier matin par exemple, à peine les yeux ouverts, je me suis dit "oh, aujourd'hui je ne fais rien je suis épuisée !". Résultat, j'ai passé la journée amorphe devant ma DS à m'occuper de mes MI. Mais en fait, cela n'est pas moi, cela ne me ressemble pas. D'habitude, je suis une vraie pile électrique qui a besoin de toujours faire quelque chose. Mais où suis-je donc passée ?!


Je n'ai pas envie que tous mes soucis me fassent oublier l'essentiel : que la vie continue, malgré tout. Que oui, j'en bave. Mais qu'il faut surtout que je me sorte de cette spirale infernale pour ne pas me perdre davantage en chemin. Alors, cela est probablement plus facile à dire qu'à faire. Mais je vais essayer de me reprendre en main et à retrouver du plaisir dans mes journées. Faire à nouveau des choses qui me font du bien, sourire et rire davantage. Parce que c'est ce que je suis en temps normal : quelqu'un qui fait toutes ces choses spontanément. Sans me poser de questions.
 
 


La vie passe trop vite et je ne voudrais pas la passer à devenir quelqu'un qui ne croit plus en rien, qui est défaitiste et qui ne rit plus de rien. Non. Je sais bien que mes soucis ne sont toujours pas réglés, que les notifications MDA tardent à venir donc payement retardé, et ce que je pensais de l'amour est venu bouleverser ce que je pensais d'une union. Mais il faut absolument que je garde à l'esprit que je dois continuer à vivre, et espérer malgré tout. Je dois retrouver l'énergie de faire toutes ces choses qui font celle que je suis d'habitude. Merde, la vie ne peut quand même pas se résumer aux épreuves difficiles que l'on traverse, ce serait trop triste !


dimanche 17 mai 2015

Méliha joue à la maitresse d'école



Méliha a décidé de jouer "à la maitresse". Son frère et moi devions être ses élèves. Nous avons installé une petite table où Logan et moi avons pris place. Puis j'ai concocté de petits exercices (coloriage, calcul...) sur le modèle de ceux qu'elle effectue quotidiennement à l'école Elle nous a distribué des A, et même un C, des sourires et des feux rouges ou verts (pour évaluer notre comportement) avec beaucoup de sérieux.
C'était super chouette. Tous les enfants jouent "à la maîtresse" mais quand je repense au fait que J'ai dû apprendre à Méliha à faire semblant, je suis épatée par la spontanéité de ce jeu.
Méliha fait si bien semblant : à trois ans et demi, elle ne jouait pas au docteur, à la poupée, à faire le ménage... Maintenant c'est si naturel pour elle de faire ce qu'elle a laborieusement appris à quatre ans .
Les jeux de faire-semblant libres et spontanés sont, paraît-il ce qu'il y a de mieux pour progresser. Nous le constatons tous les jours... voyez les enfants dans les crèches ou en maternelle
En ce moment, Méliha va très bien (il lui a été posé un dijoncteur pour élargir sa machoire et elle l'a accepté sans sourciller). Comme elle n'est plus replié sur ses peurs comme sur la première tentative il y 8 mois, le cercle vertueux est de nouveau en place et je constate avec plaisir qu'elle prend plaisir à aller à l'école et à apprendre.



jeudi 14 mai 2015

La crainte ! Moteur de motivation : non plus jamais ça


-Rien n'est plus douloureux que le sentiment d'impuissance qu'on éprouve face à des situations humaines tellement dégradées, qu'on sent que rien ne pourra les réparer.-


Cela est bien vrai malheureusement, rien ne rend plus faible que ce sentiment d'impuissance, de pouvoir empêcher, modifier, quelque chose.Moi je pense, qu'avec une volonté assez forte, et cette peur d'échouer puissante. D'un message d'âme à une autre âme. Que cela puisse lui donner envie de vivre véritablement. Je crois au contraire que ce sont les impressions qui empêchent réellement les gens d'être, et de faire ce qu'ils aiment vraiment.


Facilement, parce que leurs esprits leurs faits croient qu'ils en sont incapable, et qu'après tout l'inconnu fait peur. Mais il ne fait pas que peur. Il motive. Motive ceux qui l'accepte, et récompense ceux qui s'en sentent dignes de le traversé.  Pour ceux qui ne le savent pas je suis en congé de longue durée(CLD) depuis le 27 mars 2011 et dans très exactement 10 mois j'arriverai à la fin de mes droits et je devrai être mise en retraite pour invalidité (enfin c'est que mon employeur prévoit).
 Mais voilà moi j'ai prévu tout autre chose oui oui je sais je suis folle, pas de cette folie passagère mais une qui alimente mes journées depuis déja plusieurs jours. Je ne crois pas à cette histoire de point de non-retour. Qui dit stupidement que celui qui le dépasse ne peut pas revenir sur ses pas. C'est faux. Je refuse de croire ça. J'aime à croire, de tout mon coeur, que si on le veut vraiment, qu'on abandonne toutes les barrières aussi grandes puisses-t-elles exister.

L'illégalité, la violence, l'interdiction de réussir autrement que ce qu'il est convenu de faire, dans les conditions nécessaire, sous la menace d'avoir à prendre en considération une défaite plausible pour les autres et pour soi même. Et une rebelle de victoire pour soi. Rafale de courage exigée, pincée de folie obligée. Violence est mère de l'amusement, père de la persévérance, enfant de la détermination. La famille "réussite" n'est pas un jeu des sept familles, pour la bonne raison que personne ne peut la détenir ni l'obtenir.

Je ne te propose pas une vie faite d'amour. « ohh zut je parle à mon être intérieur » Ni de réalisé tes envies, tes espoirs, n'y d'y participer. Encore moins de partir à la recherche du bonheur. Je te propose de crée le nôtre, je te promet que jamais tu ne t'ennuieras. Je te propose la vie, en grand. Avec le v majuscule qu'elle mérite. Méritons la vie. Méritons d'avoir un essai pour réussir.

2 options s'ouvrent à moi : la retraite pour invalidité ou un reclassement possible après une mise en disponibilité pour raison de santé.

En cas d’inaptitude physique définitive et absolue :

1. Retraite pour invalidité :


Le placement en retraite pour invalidité, pour lequel aucune durée minimale de services effectifs et aucune condition d’âge ne sont exigées, ne pourra être envisagé qu’après avis favorable de la CNRACL (Décret n° 20031306 du 26.12.2003, art. 30 à 39).

Conditions cumulatives :

• Inaptitude définitive et absolue aux fonctions exercées, • Invalidité contractée ou aggravée au cours d’une période valable à la CNRACL, • Invalidité dûment établie, • Droits à congés de maladie statutaires épuisés ou demande du fonctionnaire d’une retraite pour invalidité, • Pas de possibilité de reclassement (en cas d’inaptitude aux fonctions antérieures mais pas à toutes fonctions).

Procédure :

1. L’EMPLOYEUR s’adresse au secrétariat de la COMMISSION DE REFORME pour obtenir un imprimé AF3.

2. L’EMPLOYEUR complète les pages 1 et 5 de l'imprimé bleu AF3,. et fait signer la page 1 à l'agent (s'il est radié des cadres d'office, sa signature n'est pas obligatoire).

3. L’EMPLOYEUR adresse cet imprimé AF3 accompagné d’un état détaillé des congés de maladie, (en cas d’accident : d’un rapport hiérarchique, du certificat initial et du certificat de consolidation) et d’une fiche descriptive des infirmités déjà rémunérées au MEDECIN AGREE missionné pour examiner l’agent (Pour obtenir la liste des médecins agréés, l'employeur s'adresse au CENTRE DE GESTION ou au COMITE MEDICAL). Attention ! ce médecin ne peut pas être le médecin traitant du fonctionnaire.

4. LE FONCTIONNAIRE se présente chez ce MEDECIN AGREE muni de toutes les pièces en sa possession.

5. L'EMPLOYEUR réceptionne le rapport médical du médecin rédigé sur l’imprimé AF3, en prend connaissance et communique les conclusions du médecin agréé à l'agent. L'EMPLOYEUR règle les honoraires du médecin.

6. Après cette expertise mais dans un délai d’au moins 10 jours puisque « le fonctionnaire doit pouvoir prendre connaissance de son dossier 10 jours au moins avant la réunion de la commission. Il peut présenter des observations écrites et fournir des certificats médicaux….. », L’EMPLOYEUR saisit la COMMISSION DEPARTEMENTALE DE REFORME pour une demande d’avis sur la mise à la retraite pour invalidité et lui adresse l'imprimé bleu AF3 reçu complété par le médecin. A noter que l'article 2 du décret n° 2008-1191 du 17 novembre 2008 prévoit le maintien d’un demi-traitement jusqu'à l’admission à la retraite pour invalidité des fonctionnaires reconnus définitivement inaptes et en fin de droits à congés de maladie.

7. La COMMISSION DEPARTEMENTALE DE REFORME doit se réunir dans le délai d’1 mois à compter de la réception de la demande d’avis émanant de l’employeur.

8. La COMMISSION DEPARTEMENTALE DE REFORME rédige son procès-verbal de séance en 3 exemplaires sur le modèle AF4 (que lui fournit la CNRACL).

9. La COMMISSION DEPARTEMENTALE DE REFORME retourne son avis, les imprimés AF3 et AF4 sous pli cacheté, à l’employeur qui ne doit pas ouvrir cette enveloppe (secret médical). L’EMPLOYEUR peut prendre connaissance des conclusions de la COMMISSION DE REFORME sur le double de l’AF4 qu’elle lui adresse séparément.

10. Si l’avis de la COMMISSION DE REFORME est favorable à la mise à la retraite pour invalidité, l’EMPLOYEUR saisit sur l’espace employeur du site Internet de la CNRACL, www.cnracl.fr, après s’être connecté avec ses identifiant et mot de passe, un dossier dématérialisé de demande de liquidation de pension d’invalidité et adresse par voie postale à la CNRACL, en plus des pièces nécessaires à toute demande de retraite

11. A réception de l’avis favorable de la CAISSE NATIONALE, L’EMPLOYEUR prend l’arrêté de radiation des cadres.

Ou et là ça se complique...

2 Disponibilité d'Office pour Raisons de Santé (D.O.R.S.)

Elle intervient quand l’agent a épuisé ses droits statutaires à congés de maladie ordinaire (12 mois consécutifs), ou à congé de longue maladie ou à congé de longue durée, si l'intéressé ne peut reprendre ses fonctions, mais n'est pas reconnu définitivement inapte.


    
Le comité médical doit être obligatoirement consulté pour la mise en disponibilité d'office et son renouvellement. Pour le dernier renouvellement, l'avis est donné par la commission de réforme.

Après consultation du comité médical ou de la commission de réforme, l’autorité territoriale conclut à l’inaptitude physique absolue et définitive du fonctionnaire territorial à reprendre ses fonctions et à l’impossibilité de le reclasser, dans l’immédiat, sur la base des articles 81 à 86 de la loi du 26 janvier 1984 et des dispositions du décret n°85-1054 du 30 septembre 1985.

L’intéressé n’est pas susceptible d’être admis à la retraite : il est définitivement inapte à ses fonctions mais non à toutes fonctions.

Attribution et renouvellement

La durée de la disponibilité d’office ne peut excéder une année. Elle peut être renouvelée deux fois pour une durée équivalente. Si l'agent n’a pu, durant cette période, bénéficier d’un reclassement


Fin de la disponibilité d’office

La réintégration est subordonnée à la vérification par un médecin agréé et, éventuellement, par le comité médical compétent de l’aptitude physique du fonctionnaire territorial à l’exercice des fonctions afférentes à son grade.

Si le comité médical estime que l'agent ne présente pas, de façon temporaire ou permanente, l’aptitude physique requise pour l’exercice de ses fonctions, sans cependant que son état de santé lui interdise toute activité, et si l’adaptation du poste de travail n’apparaît pas possible, il peut proposer à l’intéressé d’être reclassé dans un autre emploi dans les conditions fixées par la règlementation en vigueur.

Le fonctionnaire qui a formulé avant l’expiration de la période de mise en disponibilité une demande de réintégration est maintenu en disponibilité jusqu’à ce qu’un poste lui soit proposé dans les conditions prévues à l’article 97 de la loi du 26 janvier 1984. Toutefois, au cas où il ne peut être réintégré pour cause d’inaptitude physique, il est soit reclassé, soit mis en disponibilité d’office, soit radié des cadres s’il est reconnu définitivement inapte.
DURANT LA MISE EN DISPONIBILITE POUR RAISON DE SANTE L'AGENT EST RENUMERE EN DEMI TRAITEMENT.

J'ai bien conscience de toute sa difficulté oui oui je sais ne me regardez pas avec ces yeux, c'est comme de faire passer un chameau par le chas d'une aiguille. Je crois au plus profond de moi-même, intimement lié à mon désir de réussir et de vivre. Et c'est peut être là, que réside tout le dilemme de l'être humain. Il est. Un point. C'est tout.

Vous l'aurez compris voilà mon projet pour 2015.

Je peux reprendre en janvier 2016 et si je suis accompagnée dans ma formation ainsi qu'à la maison il est tout a fait possible que... Je tenterai une reprise et cette crainte de ne pas me faire valoir au yeux de mes anciens collègues me poussera à une possible réussite.

samedi 9 mai 2015

La psychologie des CMP ou comment détruire une famille?


TOM COURRA T'IL TOUJOURS APRES JERRY ?


Un enfant vient au monde. Tout semble normal. Mais, au fil du temps, des signes apparaissent : il évite le regard, sourit à peine, ses mouvements sont stéréotypés. L’apprentissage du langage est laborieux. C’est comme s’il se recroquevillait dans son monde à lui. Souvent, le diagnostic ne tombe que des années après : autisme, TED. Les parents sont choqués, désemparés. Les causes de ce trouble du développement de l’enfant sont encore assez floues. Les chercheurs tâtonnent. On sait seulement que les enfants atteints de cette pathologie ont un patrimoine génétique qui présente d’infimes mais nombreuses modifications qui se répercutent sur le développement de leur cerveau. Une maladie pour laquelle il n’existe encore aucun traitement. La thérapie comportementale et les programmes d’assistance permettent seulement d’atténuer les symptômes. 


J'ai eu à vivre une épreuve que je redoutais plus que tout Je prends place face à ce clavier en étant pleine de détermination et de courage pour vous exprimer ici ce que j'ai sur le coeur et ce depuis pas mal de temps. Sans avoir voulu ou su le faire avant pour je ne sais finalement plus quelle raison. Sauf que ce temps là est venu. Je dois écrire, j'en ai besoin. De ces besoins qui vous occupent l'esprit jusqu'à ce que cela soit fait.


Alors, c'est parti, je vais vider mon coeur ici et sur ce support qui me plait tant parce que c'est important que je partage cela avec vous.


Ces gens là, qui prétendent faire partie des services d’aides , m'ont attaquée et réduite à ma situation de personne handicapée touchée par une différence. Ces gestes de leur part m'ont terriblement blessée. Je vais me servir d'exemples très précis pour que vous ayez la possibilité de tous comprendre en quoi ces mots ont été durs et nocifs envers moi. Du poison.





 Aujourd'hui je vais vous parler du CMP (Centre Médicaux Psychologique)et du Conseil Générale et la cellule de recueil d'information préoccupantes et mes rapports avec celui ci :


Tout commença en mai 2012 :
L'orthophonie et l'infirmière qui suivent ma fille depuis la rentrée de septembre n'ont pas perdue leur temps avec des jeux d'enfants (puzzles du corps, poupées et implantation d'une famille dans une maison ils ont conclus et parce-que ma fille à dit zizi à la place de zezette sur un mannequin puzzle fille, qu'elle à mis les 2 enfants dans la salle de bain, maman dans le salon et fais des bisous sur un poupon partout et prononcé le prénom de son frère. Là le loup entre dans la bergerie est les questions fâcheuses ont commencer à fusé sur ma fille d'à peine 5 ans :



Après réflexions et concertations j'ai laissé ma fille au CMP car je n'ai rien à caché, qu'ils fasse leur enquête et s’apercevront de leur grossière erreur.


 Seulement le mal est fait leur manière de fonctionnement est peu commune ils font presque les réponses, la petite ne fait que répondre oui et le sens de l'habillage des poupons compte si elle met d’abord la culotte à la petite fille et sur le petit garçon le pull.

Je suis excessivement choquée, le médecin où j'ai forcer la porte arrive même à dire qu'elle à dit Logan car tout les petits garçons pour elle s'appelle Logan et qu'elle n'a pas dit forcement que ça s'est produis au domicile mais ailleurs par exemple l'école mais c'est invraisemblable puisque nous savons que les enfants de maternelle sont surveiller.

Quoi qu'il en sois il y aura une intervention des services sociaux, des rdv, des questions poses à mes enfants.

Je n'ai rien entendu de positif sur ma fille lors de ces entretiens, tout était négatif, je n'ai pas compris leurs discours et devant l'ampleur que ça prenait, j'ai refusé la prise en charge psychologique d’établir une surveillance éducative enfin qu’il ne se mettent pas en danger sexuellement.
 Le premier exemple est celui de cette assistante sociale du conseil général qui m'a dit un jour de Janvier que mon 'handicap demande une gestion qui pour elle comprend tout a fait que je peux manquer de surveillance vers mes enfants TED et que pour leur sécurité il sera bien envisageable

Lire : Madame vous ne sembler pas inquiète sur les propos rapportés par le CMP comment expliqueriez vous que votre fille s’excite en mettant son ponce et son index sur le pénis et quelle pousse des petits cris de joies en touchant le poupon garçon ?
Réponse de ma part : vous faites de l’interprétation d’adulte là, dans le commerce peu de poupon sexué, nous trouvons beaucoup de poupée avec une zezette mais peu avec un zizi et ce petit truc qui dépasse bein cela attire leur curiosité, je précise également que lorsque nous montrons a des ados une statue ou une peinture avec un pénis il y a des gloussement, pourquoi apporter tant de place à la sexualité ?

Parlons du deuxième exemple. Contexte: qui sort du sujet.
Participez vous à des réunions entre personnes handicapés ? Visitez vous des associations ?
Réponse de ma part : Non plus maintenant, j’ai fais le tour de la question merci Là encore, j'ai eu l'immense honneur qu'on me remette en pleine figure ma 'situation'
Comment occupez vous sur vos journées ? Là je leur parle de cinéma, de films vu et tiens pourquoi ne m’inscrirais-je pas dans un club de cinéfiles ? Bein non merci mes journées sont trop courtes, elle poursuit en me disant, nous cherchons juste à comprendre votre mode de vie et de pensée, vous êtes une personnes handicapés avec des enfants eux aussi handicapés , vous savez on interviens souvent lors de situation mineure et les parents eux sont valides et sont dépassés par leur enfants, on veux juste s’assurer qu’il n’y pas pas abandon ou maltraitance.
 Là encore, une personne dotée d'intelligence aurait su se taire. Je ne comprends définitivement pas l'intérêt réel de me balancer tout cela en pleine figure.
Mon dernier exemple concernera l’infirmière PMI qui me demandera si il m’arrive de me faire plaisir. De quels plaisirs parle t’elle ? Et si je vis seule à la maison, si j’ai des visites. Là encore pas très clair tout ça.
Questions aux enfants : Comment joue tu avec ta petite sœur ? Les enfants pourriez vous me faire un joli dessin. Dis moi logan tu te lave tout seul ? Questions poser à ma fille les garçons ont un …. Et les fille ont quoi ?
Les enfants jouent librement…. Temps d’observations…. et pourquoi les deux enfants barbies filles sont dans le mêmes lit Méliha ?…

 Ce que je veux faire ressortir de ce récit, c'est que le handicap n'est pas un défaut.Contrairement à ce que ces deux personnes ont l'air de penser. Il est indispensable de prendre les gens comme ils sont et de ne pas chercher à interpréter leur fait et gestes, ni à faire des questions réponses prédéfinies. Car c’est avant tout des enfants et non pas des idées et pensées perverses comme certain adultes. Et en agissant comme ils le font, ils mettent en danger leur innocence. C'est absolument intolérable de leur part.
Je chéris l'idée que les choses vont s'arranger avec le temps. Que ma vie va retrouver une certaine stabilité. Me permettre d'être à nouveau sereine et souriante à la vie. Je n'aime pas ces instants où le chaos parait être la seule optionEt si tout cela restait fragile pour toujours ? Et si toutes ces remises en question ne trouvaient pas de réponses ou de solutions ? Serai-je suffisamment solide pour garder la tête hors de l'eau ?


Après les conclusions et le rapport de la cellule d'information préoccupante en septembre 2013, le CMP qui suivait ma fille m'a laisser tomber (oserai-je dire comme une vieille chaussette ?!) sans période de préavis ils veulent « une bascule» vers le SESSAD alors même que celui-ci à une liste d‘attente et accepte les enfants que sont décision MDPH.. La fin était déjà pressentie depuis leur signalement à la recueil d‘information préoccupante. Aprés leur convocation pour leur non prise en charge de ma fille j'ai eu des conflits mouvementés. Pour vous faire la version courte, il est normalement établi qu‘un enfant ne doit pas être laisser à l‘abandon sans s‘assurer qu‘il sera pris en charge par un autre organisme ou en libéral.Sauf. Sauf que cette personne à me faire ressortir de mes gongs en prétextant que ma fille communique et qu’elle n'ai plus besoin de prise en charge


… alors même qu’à l’école la petite scolarisée que le matin actuellement en grande section de maternelle car l’AVS n’a pas pris son poste à la rentrée Je leur est demander d’aller voir ma fille en classe afin qu’ils s’aperçoivent par eux même des difficultés de Méliha quand l’AVS est absente : isolement, papillonnage, petits cris…)mais non ils refusent car cela ne serai pas de leur ressort. Mais alors quels enfants ressortiraient de leur compétences ? Si telle ils en ont.
Ils font ça pour se venger d’une situation qui les a pas mis à leur valeur, ils ont dû admettent à demi mots leurs conneries
Cette situation me met hors de moi, d'une manière que peu de monde peut imaginer. Pourquoi ?Parce qu'il est question de  faire progresser un enfant. Et j'entends par là, le fait de pouvoir refouler sa mauvaise humeur, travailler en groupe, oublier les accrochages Comme tout le monde. Il est absolument intolérable pour moi que, sous prétexte que ma fille à besoin de prises en charges , une personne décide à ma place et m'impose les faits sans détours. Être en situation de handicap ne sous entend, à aucun moment, être déplaçable. J'insiste volontairement sur ce mot... Chaque jour que je vis et affronte est aussi un combat contre toutes ces idées reçues qui aimeraient dire que je (et 'on' au sens plus large...) ne suis pas capable de penser, décider, avoir une opinion ou bien même être maître de ma vie et de mon destin, Je crois qu'il est important de se dire que tout le monde mérite le respect et la considération. Quelque soit sa situation. Passer les choses sous silence n'est pas rendre service à la cause. Cela n'est pas juste envers ces personnes justement qui n'ont pas la capacité de s'exprimer. (comme mes enfants à l'époque des faits) Qui aimeraient le faire, mais n'y arrivent pas. Pour toutes ces personnes, je me suis jurée de toujours me battre et m'exprimer au nom de tous. Il est bien question là de liberté. De liberté de prise en charges alors la prochaine fois qu‘on «  m‘ordonnera«  et le mot est pas faible de passer la « passerelle«  du libéral vers un centre dédié à la psychologie cela sera NON.


Le CMP qui suivait ma fille me laisse tomber (oserai je dire comme une vieille chaussette?!) sans période de préavis ils souhaitent
une bascule» vers le SESSAD alors même que celui-ci à une liste d‘attente et accepte les enfants que sont décision MDPH.. La fin était déjà pressentie depuis leur signalement à la recueil d‘information préoccupante. (vous vous rappelez du début d’année?) Et depuis quelques jours, je suis en conflit avec eux. Pour vous faire la version courte, il est normalement établi qu‘un enfant ne doit pas être laisser à l‘abandon sans s‘assurer qu‘il sera pris en charge par un autre organisme ou en libéral.Sauf. Sauf que...,
cette personne à me faire ressortir de mes gongs en prétextant que ma fille communique et qu’elle n’a plus besoin d’orthophonie… 
 alors même qu’à l’école la petite est scolarisé que le matin actuellement car l’AVS n’a pas pris son poste à la rentrée Je leur est demander d’aller voir ma fille en classe afin qu’ils s’aperçoivent par eux même des difficultés de Méliha quand l’AVS est absente : isolement, papillonnage, petits cris…)mais non ils refusent car cela ne serai pas de leur ressort. Mais alors quels enfants ressortiraient de leur compétences? Si telle ils en ont.

Ils font ça pour se venger d’une situation qui les a pas mis à leur valeur, ils ont dû admettent leurs conneries



Cette situation me met hors de moi, d'une manière que peu de monde peut imaginer. Pourquoi ?Parce qu'il est question de de faire progresser un enfant. Et j'entends par là, le fait de pouvoir refouler sa mauvaise humeur, travailler en groupe, oublier les accrochages Comme tout le monde. 



Conclusion :
Il est absolument intolérable pour moi que, sous prétexte que ma fille à besoin de prises en charges , une personne décide à ma place et m'impose les faits sans détours. Être en situation de handicap ne sous entend, à aucun moment, être déplaçable. J'insiste volontairement sur ce mot... Chaque jour que je vis et affronte est aussi un combat contre toutes ces idées reçues qui aimeraient dire que je (et 'on' au sens plus large...) ne suis pas capable de penser, décider, avoir une opinion ou bien même être maître de ma vie et de mon destin, Je crois qu'il est important de se dire que tout le monde mérite le respect et la considération. Quelque soit sa situation. Passer les choses sous silence n'est pas rendre service à la cause. Cela n'est pas juste envers ces personnes justement qui n'ont pas la capacité de s'exprimer. (comme mes enfants) Qui aimeraient le faire, mais n'y arrivent pas. Pour toutes ces personnes, je me suis jurée de toujours me battre et m'exprimer au nom de tous. Il est bien question là de liberté. De liberté de prise en charges alors la prochaine fois qu‘on «  m‘ordonnera«  et le mot est pas faible de passer la « passerelle«  du libéral vers un centre dédié à la psychologie cela sera NON.