mercredi 23 décembre 2015

Mon Tag à moi

Je n’ai jamais réellement pris le temps de vous dire qui je suis, ce qui me caractérise, ce qui me ressemble… Voilà aujourd’hui c’est chose faite.

L'arum symbolise l'âme, la confiance.
Offerte à toute personne confrontée à un choix difficile,

l'arum représente le chemin à emprunter

pour grandir au fil des jours, pour laisser derrière soi peine,

 mal-être et obstacles en tous genres.

De nombreuses questions se posent,

mais au bout du compte, il y a le bonheur

de savourer l'instant présent et la vie tout simplement.

Le jaune éclatant de cet arum promet d'ailleurs lumière,

chaleur et bonheur. 




1-  J'adore les films historiques, les histoires vrai, les combats menés, les luttes, mes films qui m'on marqué avec cette formidable leçon de vie sont :  le Marjordome, invictus, 12 yars a Slave et n'oublions pas Mandela ;   et Hunger Games, Jennifer Lawrence est ma meilleure amie dans le rôle de Katniss Everdeen, Peeta Mellark, Gale Hawthorne. Comment ça, ils n'existent pas ?!)

2-  J'ai une qualité: je suis déterminée.

3 -J'ai un gros défaut: je suis déterminée. Et oui, à l'excès, on appelle cela un défaut... Quand je veux quelque chose, ne vous mettez pas sur mon chemin !

4 -J'ai décidé dernièrement de ne m'entourer désormais que de personnes qui me comprennent et me prennent telle je suis, même si je suis différente. Et les autres qui croiseraient mon chemin, je ne m'arrête plus. J'ai déjà donné, c'est terminé pour moi.

5- J'adore aller au cinéma 


6- Je n'aime pas les gens qui jugent les autres en s'arrêtant aux apparences. On vaut mieux que ça non ?!


7- Je me réjouis parfois de petites choses qui peuvent illuminer me journée alors que pour vous ces petites choses vous paraîtraient débiles...

8- Je peux paraître complètement folle aux yeux de certains mais je m'en fous !

9- J'ai découvert il y a peu de temps un côté 'solitaire' chez moi que je ne soupçonnais pas... J'aime me retrouver seule, face à moi même, c'est important.

Mon principal trait de caractère ?
Hum... pas évident de choisir... je dirais que mon principal trait de caractère est la persévérance. Parce que je me bats souvent pour obtenir ce que je veux. Peu importe le temps qu'il faudra, peu importent les embûches sur mon chemin, je ne lâche pas l'affaire. Après, cela pourrait tout à fait être considéré comme un défaut.

Qu'est-ce qui me fait rire ?
Moi, honnêtement, tout me fait rire, tout le temps. Des petites choses, des bêtises. Je n'envisage pas de passer une seule journée sans rire une seule fois. C'est hyper important. Les personne avec qui j'ai les meilleurs fou rire du monde, c'est mes enfants. D'ailleurs, ils sont bien souvent les seuls à les comprendre :)

Si je devais choisir une plante, une fleur qui me ressemble, qu’est ce que je choisirais et pourquoi?
L’arum est la symbolique de la confiance, de la profondeur de l’âme,
Le blanc incarne la pureté, la virginité, mais aussi le raffinement et l’élégance.
étonnant d'ailleurs, car cette fleur, d'une odeur putride est aussi vénéneuse dans toutes ces parties...
Pourtant cette fleur je la trouve si jolie, elle ne ressemble à aucune autre par ces « qualités et son aspect, un peu comme dans l’Amour il n'y a pas de relation humaine qui ne soit quelque part toujours un peu toxique.
N'est-ce pas là que réside toute la complexité et le mystère de l'amour,
douce addiction pour une drogue la plus dure.
bon je cesse là mon délire nocturne, car il est 00h22 et que je dois aller dormir

lundi 14 décembre 2015

cher employeur : tu reprendras bien encore quelques bonbons !



Comme une jongleuse au milieu de son public rempli d'enfants pour la représentation d'un cirque , je jongle et m'amuse avec les différents masques dont vous êtes les spectateurs . A la manière d'un habit dont on choisi la couleur et l'harmonie , le masque se peint , s'efface , se crée , se transforme et se perfectionne pour finir comme cette serrure magique qui passe tout les verrous.
Et finalement si après 9 mois , je n'écrivais pas mes pensées, mes humeurs que je souhaite vous faire partager mais plutôt l'idée de pensée que je désir être comprise et que vous soyez touché ... Avec cette envie de progrès constant , d'effort qui mène au succès , de cette lois stupide et totalement vrai du "quand on veut on peut" .. Et si « l'accrocheuse » c'était moi sans que je ne l'accepte ? Faire fuir mes peurs et mes doutes, car dans le doute il y a une remise en question de son soi Ce que l'être humain de croire puisque nous nous pensons impossible de tout ça ? Et si .., la voltigeuse était le rempart de la solitude tout en étant le bélier des frontières que je brandis ?
Cet état d’esprit me rappelle un film un capital temps pour une vie qui à 25 ans le compteur est remis à zéro et à cette âge il faut « gagner » du temps pour rester en vie.

Qui y a t-il dans un monde où toute la vulgarité de l'honnêteté est masquée , où le mensonge est le seul moyen pour se parler , derrière des murailles dites sans nom , pour se donner un genre où l'intérêt n'existe pas , pour flatter l'apparence et délaissé la profondeur , au risque de se retrouver vide de sens et d'espoir. Qui y a t-il dans notre société qui vaille la peine d'en oublier des choses si essentielles , qui devant nous depuis bien longtemps sont ensevelis sous les illusions que nous avons prôné pour se croire vivant , entouré et sûr de soi ?

Faire face à des épreuves comme le handicap, se battre contre une maladie ou contre les conséquences d’un accident, tout cela nous oblige à grandir malgré nous. A côtoyer le malheur, le destin, la fatalité, appelez cela comme vous voudrez, nous prenons conscience d’énormément de choses. L’apprentissage de la vie que nous faisons dans ces conditions est d’une intensité toute particulière. Après, chacun l’utilise à sa manière : à bon ou mauvais escient.

Quoi qu’il arrive, le handicap, que ce soit ses bons ou ses mauvais côté ne peut en aucun cas servir d’excuse. Le handicap n’est pas une fin, et ce n’est pas non plus la pire chose au monde qui puisse arriver. Oui nous nous retrouvons dans un cas différent de ce qu’on appelle « normalité », oui c’est parfois difficile, oui le quotidien est à recréer et ce n'est pas toujours aisé MAIS. Mais nous vivons. Et comme tout le monde, nous ne sommes pas à l’abri des soucis, des déceptions, des incompréhensions, des « pas d’bol », des tristesses, des bassesses et des petits tracas. Mais ça veut aussi dire que nous ne sommes pas à l’abri des sourires, des surprises, des joies, de l’aide, de la compréhension, de l’acceptation, du beau, du vrai, du grand, de l’incroyable, du magique , des petits bonheurs et même des victoires que l'on pensait vaines. 
cela fait quelques temps que je ne vous ai pas parler de mon très cher employeur . Oui, c’est vrai, il m'avait  un peu abandonnée  et préparait déjà mon cercueil . Mais croyez-moi, je n'étais pas prête à mourir et c'est alors qu'un combat s'engagea. La victoire a été total puisque le matin du 14 décembre 2015, le téléphone sonna et annonça ma victoire
En effet, figurez vous je vais ré infiltrer le monde du travail le 04 janvier 2016. Après 4 ans et 9 mois sans travailler, je reviendrai vous raconter, en toute objectivité (bien sûr), ce que ça fait de reprendre le boulot. Le comité médical a accepté ma requête :mi temps thérapeutique d'un essai de 3 mois avant révaluation.
Le soucis c'est qu'on va me jeter d'un avion sans parachute.

vendredi 11 décembre 2015

Le fait de sourire quand plus rien ne va suffit t'il de faire de moi quelqu'un d'heureux?







Mon cœur me dit : " continue tu y es . " , mon esprit s'embrase et me répond " arrête tant que tu le peux encore. " et je suis au milieu de ce combat interne. Comme une tempête invisible qui me prend dans sa destruction. J'assiste au combat du cœur contre la raison. J'ai peur. Mais rien n'est aussi vrai. Je suis enfin à deux doigts d'avoir ce que j'ai toujours voulu et je suis en même temps effrayer que cela ne soit qu'un simple mirage , qu'une pauvre lubie dont mon cœur soit tombé fou amoureux. J'ai peur que ce que je puisse comprendre ne soit pas vrai , pas réel , que mon imaginations ait prit le contrôle de ma réalité. Mon cœur est une éternelle machine faite d'un espoir plus brute que le diamant et plus infini que le temps. Même si mon espoir ne se briserait pas face à l'échec plausible de cette situation; mon cœur : si. Parce que j'ai tout donné pour en arriver là. Et au final je gagne le bénéfice du doute. J'ai mis tout ce que j'étais et ce que je ne suis plus. J'ai décidé d'écouté une dernière fois mon cœur , mais si jamais , il me trompe encore une fois , alors ce sera la dernière , puisque plus jamais je ne le laisserai parler , ni prendre le contrôle. Je le ferai mourir. Et cette fois-ci aucune chance qu'il vive encore. La partie va bientôt s'achever pour moi , quitter la table silencieusement en perdante ou sortir victorieuse d'un si long combat.. Je ne sais plus , je ne sais pas. La seule chose dont je sois certaine , c'est qu'aujourd'hui.. Je joue ma dernière carte : J'y crois encore, prouve moi que je ne suis pas folle..


Je tiens à m’excuser. Au près de moi-même pour ce qu’il se passe. Je souhaite m’excuser. M’excuser de ne pas être assez forte. Assez forte pour renvoyer les coups cette fois-ci. Et c’est en cela que je perd. Je voudrais m’excuser d’être capable d’encaisser les coups sans broncher mais de ne pas être capable de les renvoyer avec dix fois plus de force qu’on me les envoient.
Mais je ne lâcherai pas. Je n’abandonnerai pas, sous n’importe quels prétextes.. Je le sais au plus profond de moi, j’ai beau me demander pardon.. M’excuser autant de fois qu’il m’est nécessaire.. Je ne me pardonnerai pas. C’est une griffure de plus, une entaille en plus sur l’histoire que je tente de bâtir. Avec, ou contre moi.


vendredi 4 décembre 2015

Les dessous de la PCH (Prestation Compensation du Handicap)




Actuellement je touche l'ACTP ( Allocation compensatrice tierce personne en vigueur avant 2006 avant la loi sur le handicap créant la PCH) au taux de 50% et également une AEEH pour les enfants avec une base de 8 heures/ semaine pour employer une aide au domicile pour les enfants ayant un TSA (Logan a un autisme infantile précoce et Méliha a un TED et pour moi même également, Je l'emploi en CESU URSSAF. j'ai donc 2 possibilités soit conserver mon ancien droit ou passer à la PCH avoir un mélange en emploi direct dont le taux en vigueur par décret est fixé à 12,26 en sachant que je paye mon aide à domicile 9,48 net de l'heure sans compter les cotisation patronales ( je reviendrai dessus lors d'un prochain post) plus le service prestataire. Si la personne handicapée choisie entièrement le service prestataire il lui reste un montant non négligeable à sa charge. le surcoût moyen directement lié aux "caractéristiques handicap" (respect du projet de vie, connaissance des spécificités du handicap, etc.). Le coût de revient moyen (23 €) est supérieur de 5,40 € au montant (17,59 €) de la prestation de compensation du handicap (PCH), qui n’a pas évolué depuis avril 2009. Les services ne facturent pas ce tarif : le prix moyen demandé par les structures ayant participé à l’enquête s’élève en effet à 21,08 , frais de déplacement inclus. Ce qui laisse donc 3,50 €, en moyenne, à la charge de l’usager. Sur le montant qu'il restera à votre charge il y a 50 % de déduction d’impôt. Concernant les aidant familiaux, le montant est à 3,62€ de l'heure et étant donné que la PCH est imposable.7 % des personnes vivant en France déclarent au moins une limitation fonctionnelle physique, révèle une récente étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees). Près de 7 % des 33 millions d’adultes vivant en France à domicile et âgés de 20 à 59 ans éprouvent donc des difficultés à marcher 500 mètres, monter un escalier, s’agenouiller, porter 5 kilos, lever les bras, se servir de leurs mains ou prendre un objet. 17 % déclarent utiliser au moins une aide technique (béquille, prothèse, assistance respiratoire, etc.) et 10 % vivent dans un logement équipé d’aménagements spécifiques. l’ACTP ''chaque année le CG envoi un contrôle de l'effectivité de l'aide''  peut rester intéressante, car elle est n’est pas soumise à un contrôle d’effectivité, contrairement à la PCH qui quand vous ne n'utilisez pas la totalité des heures qui vous ont été alloué, le trimestre suivant vos droits sont diminué et le trimestre passé sert de calcul base à votre nouveau droit. Il faut calculer au plus juste chaque minute compte mais si par exemple chaque année vous partez en vacances chez vos parents, amis ou etc il faut leur dire exactement les jours d'absence dans l'année ainsi ils retire par exemple 20 min par jour de vos droit il faut également expliquer de quelle manière vous êtes accueillis « emploi direct ou dédommagement familiale » Cela aurait sûrement influencé vos choix au moment d'opter pour celle-ci.
Je n'arrive pas à comprendre qu'une maman qui s'occupe de son enfant handicapé ou un conjoint puissent payer un impôt commercial sur les bénéfices qu'ils auraient "tirés" de cette situation, tout cela en percevant une prestation qui a pour but de les soulager dans leur quotidien.
Et je lis sur un forum que la réforme de 2006 a transformé les familles en petites entreprises, ou presque. Nous sommes donc les salariés de nos enfants ou de nos conjoints sans compter que l'AAH est calculer sur le montant salaire des personnes occupant le logement (à quand les pointeuses pour savoir à quel moment nous devons être les parents ou « l'amoureuse » ou l'aidant familial salarié ?), et à ce titre, nous devons déclarer notre "dédommagement".
QUI détient les informations? QUI doit nous conseiller avant de faire le bon choix ?
Il semblerait qu'un énorme flou règne autour de cet état de fait. Personne ne semble (ou ne veut pas) être au courant que la PCH puisse entraîner des changements radicaux dans le budget d'un foyer déjà touché par le handicap. En effet, cette PCH se rajoutant au revenu fiscal de référence peut interférer sur l'attribution d'autres prestations sociales ( cantine, CAF, RSA, etc…) qui peuvent concerner la fratrie (handicapé ou non).
Selon l'information fiscale 5F-21-06 du 24 décembre 2006, la PCH est expressément exonérée d'Impôt sur le Revenu qu'elles que soient ses modalités de versement. Mais dans le rescrit 2007/26 du 24 juillet 2007, les sommes perçues pourront être déclarées à l'Impôt sur le Revenu sur le formulaire 2042 C au titre des Bénéfices Non Commerciaux.

Alors, il faudra surtout m'expliquer comment la loi de février 2005, dite loi de l'égalité des chances, a pu devenir, via la PCH, la loi de la double peine. Alors vous savez pourquoi maintenant je conserve mon ACTP et les AEEH des enfants.
La PCH peux donc devenir intéressante quand vous avez plus de 3 heures d'aides au quotidien.