vendredi 29 avril 2016

Chapitre 7 : Il faut du courage pour être heureux. Se retrousser les manches jour après jour et ne jamais renoncer.




Aujourd'hui j'aime la vie plus qu'hier et moins que demain , et ce temps avec le soleil qui souri au visage de la planète et son air soyeux qui caresse la paume de mon front , me donne envie de croire que jamais on ne devrait rien détesté dans la vie. Ces journées me sont chères car jusqu'à ce qu'elle soit fini à la nuit couchée , c'est une leçon éternelle sur les plaisirs qui ne s'achètent pas et qui sont dures à partager , restant les plus beaux , accessible aux yeux de tous , ceux qui ne se payent pas , qui ne se vendent pas , qui n'ont besoin que d'une chose pour exister .. Vous , et votre capacité à les distinguer. Je me refuse à croire que la vie est un périple périlleux où la souffrance est la signe de libération. C'est plutôt une femme aussi belle que froide , dont on ne sait pas quoi attendre et qui nous donne des choses qui sur l'instant sont insignifiante , et qui grandissant avec le temps deviennent magiques.


Je n'ai plus envie d'espéré que demain soit meilleur , je n'ai pas envie non plus de me forcer à croire qu'un jour tout ira mieux. Je ne crois plus. Je n'espère plus. Je le sais intimement. Je le sais fort , parce que si ça n'est pas le cas . Je le ferai moi-même. Je ferai en sorte que mes lendemains soient meilleurs. La satisfaction de vivre , respiré , aimé , et sourire pour un rien , sont un luxe que je ne vendrai sous aucun prétexte , ce n'est ni de la naïveté , ni de l'innocence , j'ai eu l'opportunité d'apprécié ce que j'ai , de me rendre compte sur l'instant de l'essentiel tout en , en profitant pleinement. Je n'ai rien de plus à demandé à part ce que la société m'oblige à rêver , un paquet d'€ où je m'arrêterai de compté avant d'en arriver au 1/3 . Mais tout ça , sans société , sans règle établi , n'a pas de sens. Alors que société ou non , règle ou non , conditionnement ou pas.. Cette journée est belle.

Devoir trouver un sens à sa vie.. C'est drôle c'est comme demander " vivre ou mourir " au final nous répondons vivre , sans avoir de raison plus particulière que celui de l'instant de survie. C'est à nous de trouver les raisons qui font que vivre sera notre choix et pas notre instinct , sinon cela devient "survivre" . Cette journée est trop tentante pour que je n'ose pas m'abandonner au plaisir tout simple de me savoir vivante.

Le bonheur est aussi vulgaire que l'illusion qu'il donne, et je ne supporte pas de vouloir ce que tout le monde veut. La question reste de savoir si avec des millions je serai capable de toujours apprécié les choses simples.

J'aime ma vie . Non sans blague. Je l'aime pour toutes les difficultés et les problèmes que j'ai . Car c'est grâce à ça que j'évolue, que je réfléchis , que je grandis, que chaque obstacle n'est en fait qu'un ressort sur lequel je m'appuie pour aller toujours plus haut. Mes obstacles sont en quelques sortes le processus de ma croissance. J'aime mes soucis , et j'aime plus que n'importe qui souffrir . Parce qu'il n'y a pas de pire sensation pour faire parvenir à quelqu'un qu'il est en vie . Les sourires , la joie , et ce soit disant bonheur que tout le monde pense qu'ils vous tombera dans les bras un beau matin. J'aime tout ça , cet égoïsme , cette croyance merdique que tout le monde peut avoir. Des gens nous surprendrons toujours . Il y aura dans ce monde des gens pour croire en la vie éternelle , un amour infini , un monde en paix , on aura toujours les plus grands et les plus beaux optimistes que nous confères cette terre. J'aime tout ça . Ce pouvoir qu'on à de pouvoir se lever , que notre monde soit en flamme , que tout soit détruit et pourtant avoir la possibilité de sourire et de se rassurer en se disant que tout ira mieux . L'optimisme dans toute sa splendeur. C'est magique . Voir complètement fou. Mais tout le monde peut le faire et ça .. C'est extraordinaire . C'est un don de pouvoir relativiser . Avec mes obstacles j'ai appris deux choses qui à la veille de mai je veux vous léguer .

Tout d'abord , n'abandonnez jamais . Car quand on abandonne une fois . On abandonne toute notre vie . 

vendredi 22 avril 2016

Désamorçage

Un avis? Un conseil ? Une discussion qui tourne à terme à ; je ne demanderai pas à vos collègues de devenir assistante de vie. Des questions commandant? Un avis sur la manière d'on vous échanger avec moi ? Un ennui certain de ma part durant mes longues heures derrière ce bureau traduisant un bore-out. Besoin d'un avis différent , ou de regretter le fait d'avoir engager la conversation sur un sujet si épineux que la discrimination Une idée de tâches à me confier (vous me sauveriez..) , une mission , un message cool à renvoyer ? Un déjeuner à partagée ? Un mi temps thérapeutique c'est cool n'est ce pas ! Une balade à Paris? Un Panda Roux ? Une invitation à un pot chez l'Amiral ? 10000 € pour mes aménagements de véhicule et un saumon ? Un costard trois pièces pour vous ? Le pack million dollars dandy ? Une petite critique de dix pages sur les fautes horribles que je fais ? Ou les mots que j'oublie ? Une envie de me bombarder avec votre secrétaire , maître principal? Un bureau glacial qu'il faut réchauffer ? Une tension passionnellement sexuelle (j'dérape.)  Bein oui qui n'a jamais rêver d'un officier ? Que doit-je faire pour qu'on me fasse confiance ? Que doit-je faire naître ? Où dois je m'enfuir ? Le fauteuil n'est pas un synonyme de débilité.

mardi 12 avril 2016

CHAPITRE 6 : le courage d'oser le dire

Peut être que tout est dit ; mais tout reste encore à faire dans un monde qui ne cesse de surprendre et de secouer de jours en jours. Il n'y a qu'une possibilité : celle de l'impossible , de l'incroyable. La réalité est mieux que tout les rêves que vous pouvez faire , pour une seule et unique raison qui pourrait vous tuer d'espérance : elle vous donne l'occasion de les réaliser. Mais ces possibilités ont un prix. Et ce prix là , ce n'est pas de l'argent. La terre est un terrain de jeu, vos règles , votre jeu , votre vie. N'oubliez pas ; votre victoire ici , n'est pas NÉGOCIABLE. Je me lèverai un jour , et ce jour là , j'accomplirai de grandes choses. Et la première personne à être sur le cul , ce sera moi. Une seule chose est sure , je n'en resterai pas là. J'irai à la recherche des choses qui attendent d’être découvertes. Ma vie sera un excès de vitesse dont la seule police est la mort. Manque de chance , ni faux , ni malheur n'excelle la puissance de la détermination. La route sera ma volonté , la vitesse : ma force.
Mais voilà, je ne me sens jamais sur de moi a l'approche d'un obstacle ou d'une difficulté dans ma vie. Je ne fais pas parti de ce genre de personne qui dès l'instant ou elle se sent défier. Combat avec une rage de vaincre et une envie de victoire. Je me met sans cesse en doute. Sous pression. Pour savoir si je peux le faire. Si j'en suis capable. Je ne me voile pas d'illusion. Je sais accepter la défaite mais aussi voir l'espoir dans chaque acte de chaque événement. Je sais les conséquences de mes actes. Et je sais aussi que quelquefois il m'arrivera de ne pas pouvoir me dire que je peux pas y arriver. Je ne suis pas vantarde ni modeste. Simplement j'apprécie ce  que j'ai. Je me demande comment les autres font de leurs vies quand moi je fais ou pense quelques choses .. Leur arrive t'ils a eux aussi de penser a ça. Je n'ai pas l'imagination débordante pour me dire que je suis exceptionnelle et unique ou que je peux déplacer des montagnes. Honnêtement. Pour tout avouer je me sens: Banale. J'aurai aimer être cette héroine invincible. Cette histoire que l'on raconte aux enfants avant de dormir. Parlant d'une femme invisible qui fait des bonnes actions sans que personnes ne s'en aperçoivent jamais. Mais je n'ai rien de tout ça. Simplement. Je sais accepter le fait que je ne suis qu'une personne parmi tant d'autres. Une inconnue dans une foule. Que je sois la ou non. Ma vie n'a pas d'incidence.-