Traitement IMC

AVOIR UNE INFIRMITE MOTRICE ET CEREBRAL (PARALYSIE CEREBRALE)


C’est un état pathologique (non évolutif) affectant la posture et les mouvements, résultant de dommages au cerveau alors qu’il était en développement. L’état du cerveau ne s’aggrave donc pas avec le temps mais le patient souffre souvent de problèmes orthopédiques secondaires.

Comment les Cellules Souches peuvent aider un patient atteint d’Infirmité Motrice Cérébrale

Un grand nombre de cellules souches peuvent aider le patient atteint d’IMC, et ce, de plusieurs façon :

- En réduisant la réponse inflammatoire

- En évitant d’autres lésions cérébrales

- En se différenciant en cellules astrocytes, microgliocytes, oligodendrocytes, neuronales et gliales, favorable pour la régénération d’axones et de gaines de myéline, la transmission des impulsions nerveuses, la production de cytokine et de facteurs neurotropes dérivés de la glie, facteurs neurotropes dérivés cerveau, facteurs de croissance nerveuse, neurotrophine 3 et neurotrophine 4/5.

- En générant de nouveaux vaisseaux sanguins, accroissant l’apport d’oxygène et de nutriments aux tissus hypoxiques et tissus endommagés

- En réduisant l’apoptose cellulaire intrinsèque

Tout ceci pouvant aider à regagner des fonctions motrices et de coordination, faire des progrès en termes de vision et de retard mental, gagner en force musculaire, diminuer la spasticité etc…

Lors d’un traitement par cellules souches chez Beike, le patient bénéficiera également de diverses thérapies pour maximiser les résultats, comme de la rééducation, stimulation électrique, acupuncture, kinésithérapie et ergothérapie.




Au Canada, des chercheurs ont découvert que des cellules souches prélevées sur de la peau de souris pourraient permettre les mêmes expérimentations que les cellules souches embryonnaires. Cette première médicale résoudrait les problèmes éthiques que posent les recherches sur l'embryon humain. Commentaire sur images factuelles des chercheurs canadiens dans leur laboratoire, images infographiques de cellules souches prélevées sur de la peau de souris. Interview du Professeur Frida MILLER, neurobiologiste de l'université Mc Gill : "Trouver des cellules souches qui peuvent évoluer vers différents tissus, voilà notre grande surprise. Tout nous pousse à croire que ces mêmes cellules existent dans la peau humaine.." Interview de David ROY spécialiste d'éthique médicale : "Nous ne savons pas ce que cela peut donner, nous ne devons fermer aucune porte.." 

La toxine botulique



La toxine botulique (botox) est utilisée depuis plus de 10 ans dans le traitement de la spasticité. C'est une toxine de type A, utilisée en pratique clinique et qui agit en bloquant la transmission au niveau de la jonction neuromusculaire. Plus simplement, ce sont de petites piqûres faites dans un ou plusieurs muscles trop fort(s) et qui le(s) paralisent (dans le cas de Little, il s'agit souvent des membres inférieurs) pour permettre aux plus faibles de fonctionner et de se renforcer petit à petit, Ainsi, le cerveau va se rendre compte que ces muscles, même s'ils sont plus faibles, existent et il pourra apprendre a s'en servir. Mais bien sûr, il faut du temps et une bonne rééducation pour que votre enfant apprenne à faire fonctionner ces muscles. Si tout se passe bien, les muscles finissent par fonctionner à peu près tous avec la même force, ce qui permet d'atténuer un peu la raideur de la marche.

A l'heure actuelle, il existe deux types de toxine botulique : la toxine Botox* (également utilisée dans le traitement des rides) et la toxine Dysport*.
L'utilisation de ces deux toxines est aujourd'hui strictement réservée à l'usage hospitalier et seuls certains médecins sont autorisés à pratiquer les injections.

Idéalement, les injections de toxine botulique sont à faire entre 2 et 6 ans, à l'âge du gain maximum d'acquisitions motrices. Au-delà de 7 ans, les injections perdent en efficacité et les progrès moteurs sont plus faibles, les objectifs étant de maintenir, consolider et améliorer les performances acquises.
Le nombre de séances d'injections utiles est à définir pour chaque enfant en fonction du gain obtenu lors de la première séance.
Lors d'une séance d'injections, plusieurs groupes musculaires sont injectés, principalement au niveau des membres inférieurs chez l'enfant infirme moteur cérébral. Les groupes musculaires à injecter sont repérés après examen clinique de l'enfant.
• L'enfant est placé en décubitus ventral et/ou dorsal et sous gaz hilarant pour éviter la douleur. Cela fonctionne comme un anesthésiant normal.
• Le repérage du site peut se faire par palpation du muscle, mais l'idéal est d'utiliser l'électro-stimulation ou l'enregistrement électromyographique : l'aiguille d'injection est reliée à un électro-stimulateur ou à l'appareil d'enregistrement électro-myographique. L'électro-stimulation est utilisée pour l'injection des muscles profonds afin d'optimiser le résultat.
• Les injections sont au nombre de 4 à 8 par séance. L'aiguille est enfoncée sur une profondeur variable.
La toute première injection fonctionne en moyenne six mois à un an selon les cas, la deuxième un peu plus longtemps.

La méthode par injection est parmi les plus efficaces à l'heure actuelle, à condition qu'elle soit accompagnée de séances de kiné assez régulières, et de matériel type coques ou corset. De plus, il faut refaire régulièrement les injections pour éviter que l'effet ne s'estompe, ce qui peut, à la longue, être assez pesant pour l'enfant. Afin d'éviter les erreurs en piquant aux mauvais endroits, il est conseillé de faire au préalable un bilan de la marche de votre enfant (non douloureux, ce sont des capteurs mis sur certains muscles).

Au delà de ça, il me semble que c'est aujourd'hui l'une des solutions les plus efficaces, pourvu qu'elle soit faite entre 2 et 6 ans.
Néanmoins, cela peut aussi ne pas donner de bons résultats. C'est a dire que rien ne change ou presque. Les médecins cherchent alors pourquoi et cet échec est très important pour rechercher le traitement idéal, et trouver une solution plus adaptée à l'enfant.

LE LIORESAL



C' est un myorelaxant à action centrale ( M : système locomoteur )
Ce médicament est indiqué, chez l' adulte et l' enfant à partir de 7 ans, pour réduire les contractions musculaires involontaires et relâcher la tension excessive des muscles qui appairaît au cours de maladies neurologiques comme la sclérose en plaques, certaines maladies de la moelle épinière ou 
les contractures d' origine cérébrales
.
Il agit sur la transmission nerveuse et entraîne la relaxation des muscles dits squelettique c'est à dire rattachés au squelette.

Les doses faibles au début, sont augmentées progressivement en fonction de la réponse au traitement.
Pour moi, le traitement commence, j'avais toujours refusé car il agit comme une drogue et l'arrêt de ce médicament est difficile mais mon bras est devenu bien rop spastique, il me fais souffrir et j'ai des douleurs dans le dos. Actuellement je prend un comprimé le matin et un le soir, ce sont des petits comprimés très faciles à avaler.

En cas de spasticité très importante, Il existe des procédures neurochirurgicales.
l'administration intrathécale du médicament. Le neurochirurgien place une pompe implantable, programmable, gérée électroniquement, dans le ventre du patient (juste sous la peau). Cette pompe est reliée à un cathéter, une mince tubulure en silicone, qui délivre directement et de manière contrôlée le médicament concerné dans le liquide rachidien (intrathécal signifie "dans le liquide rachidien").

avant (hélas dans la vie il y a souvent un avant et un après), la vie était facile. bien sûr, il y avait des querelles, des chagrins, des épreuves, des échecs. mais rien n'était insurmontable, on passait à travers ces petits tracas et on souriait à la vie.

et puis un jour, il se passe quelque chose, de grave ou de banal, et ce quelque chose bouleverse tout sur son passage et rien n'est plus comme avant.

on traverse ce quelque chose, on s'en sort et pourtant, la simplicité a disparu. comme si ce quelque chose avait été la frontière entre la vie facile et autre chose. pas une vie difficile pour autant, une vie différente.


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